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Damas-SANA/ Le ministère des AE et des Expatriés a affirmé que les attaques perpétrées par la « Coalition internationale » illégale, conduite par Washington, contre la Syrie ont les mêmes objectifs des agressions israéliennes répétées, dont la dernière était contre la zone de Kiswa au sud de Damas.
Dans deux messages adressés au secrétaire général de l’ONU et au président du Conseil de sécurité sur les agressions américaines et israéliennes contre la souveraineté de la République arabe syrienne, le ministère a fait savoir que les avions de combat de la « Coalition internationale » illégale, conduite par les Etats-Unis, avaient poursuivi leurs crimes sauvages contre les civils syriens innocents en commettant le 30 novembre 2018 un nouveau massacre dans le village de Chaafa dans la banlieue de Deir Ezzor et en y faisant plus de 30 martyrs, dont la majorité sont des femmes et des enfants.
Et le ministère de poursuivre : « La poursuite des crimes démontre l’ignorance des valeurs humaines et du droit international par les Etats-Unis qui ont créé cette Coalition dans une transgression flagrante des dispositions et des principes du droit international ».
Le ministère a fait savoir que le mutisme des pays et des organisations internationales, qui prétendent leur attachement à la protection des civils, vis-à-vis des crimes des Etats-Unis et de leur Coalition avait mis à nu l’hypocrisie de ces pays et leur politique de double critère.
Le ministère a indiqué que les attaques perpétrées par la « Coalition internationale » illégale, conduite par Washington, contre la souveraineté et l’intégrité territoriale de la République arabe syrienne ont les mêmes objectifs des agressions israéliennes répétées, dont la dernière était contre la zone de Kiswa au sud de Damas et qui avaient fait preuve du soutien apporté par « Israël » aux groupes terroristes armés et de ses tentatives de perdurer la crise en Syrie.
Et le ministère de conclure: «La République arabe syrienne condamne ces crimes et ces agressions répétées et réclame au Conseil de sécurité et aux pays membres de l’ONU de mettre fin dès que possible à ces actes et de les condamner ».
R.F. / A.Chatta
