Damas / Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a affirmé que le peuple syrien, qui lutte depuis plus de cinq ans contre le terrorisme, est seul qui a le droit exclusif à décider de son avenir, sans avoir besoin des conseils de Ban Ki- moon, « qui avait tiré le rapport condamnant l’Arabie Saoudite pour une poignée de dollars ».
Commentant le discours prononcé par Ban Ki-moon devant la séance inaugurale de l’Assemblée générale de l’ONU, le ministère a affirmé que la Syrie confirme son attachement au droit du peuple syrien à décider de son avenir, ce qui s’harmonise avec les dispositions de la Charte de l’ONU. « Ce que contient le discours de Ban Ki-moon sur la Syrie est tout à fait loin des dispositions de la Charte des Nations unies », a affirmé le ministère dans un communique.
« Les Nations unies s’étaient écartées de leur rôle de trouver des solutions justes aux problèmes internationales sans pouvoir tout au long du mandat de Ban Ki-moon de trouver une solution à un problème international », a ajouté le communiqué.
Le communiqué a enfin affirmé que dans sa dernière déclaration, Ban Ki-moon a inéluctablement échoué de mettre son expérience, en tant que secrétaire général des Nations unies, devant la Communauté internationale.
R.B.