Genève-SANA/Le représentant permanent de la Syrie auprès de l’Office des Nations Unies à Genève, l’Ambassadeur Haider Ali Ahmad, a affirmé que la Syrie n’a jamais reconnu la soi-disant « la Commission d’enquête sur la Syrie », dont la méthodologie et les conclusions contredisent la perspective professionnelle et elle est déconnectée de la réalité dans ses interprétations.
Ali Ahmad a dit aujourd’hui dans un communiqué lors du dialogue interactif avec « la Commission d’enquête sur la République arabe syrienne » devant la 56e session du Conseil des droits de l’homme à Genève : « Ce que nous avons écouté sous le titre “Une mise à jour orale sur les développements de la situation dans le domaine des droits de l’homme en République Arabe Syrienne » ne mérite aucun commentaire, car il est inutile d’entrer dans les détails de l’action de cette commission.
Le représentant permanent de la Syrie a souligné que la Syrie poursuivrait ses efforts pour libérer ses terres du terrorisme et y rétablir la sécurité, la stabilité et l’état de droit, affirmant la poursuite de la coopération constructive avec les Nations Unies et d’autres partenaires pour améliorer la situation humanitaire de tous ses citoyens et garantir l’accès continu de l’aide humanitaire aux civils qui en ont besoin, y compris dans les zones contrôlées encore par les réseaux terroristes dans le nord-ouest du pays.
Ali Ahmad a réitéré que la Syrie poursuit ses efforts pour renforcer, améliorer et développer les cadres législatifs et institutionnels nationaux concernés par les droits de l’homme, conformément à ses obligations internationales en vertu du droit international des droits de l’homme.
Le Représentant permanent de la Syrie auprès de l’Office des Nations Unies à Genève a appelé à examiner ces efforts de manière objective et impartiale et à éloigner les discussions pertinentes du climat négatif que cette commission et ses parrains tentent d’imposer au débat sur les questions des droits de l’homme en Syrie.
H.A./ R.F.