Damas-SANA / Une réunion virtuelle de la table ronde ministérielle a été organisée aujourd’hui par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) avec la participation de la Syrie, dans le but de discuter du cadre normatif de l’éthique de l’intelligence artificielle générative dans l’éducation.
Outre la Syrie, des ministres et des responsables concernés de 17 pays du monde ont participé à la réunion via la vidéoconférence, notamment le Cameroun, la République démocratique du Congo, l’Irlande, le Mali, la Slovénie, le Sri Lanka, la Tunisie, le Venezuela, l’Arménie, la Bulgarie, la République populaire de Chine, le Canada, la Côte d’Ivoire, l’Italie, l’Afrique du Sud, l’Ouzbékistan et l’Espagne.
Dans l’allocution de la Syrie, le ministre de l’Éducation, Darem Tabbaa, a expliqué que l’utilisation de l’intelligence artificielle générative dans l’éducation est une nécessité qui exige le développement de services similaires aux capacités pédagogiques humaines, permettant ainsi à l’apprenant de simuler continuellement l’expérience scientifique.
Tabbaa a souligné que le ministère avait lancé un moteur de recherche éducatif pour permettre aux apprenants, grâce à l’intelligence artificielle générative, d’avoir de connaissances et de compétences appropriées pour développer leurs capacités, ainsi que d’accéder en toute sécurité et en toute confiance aux connaissances et compétences requises pour fournir une main-d’œuvre qualifiée dans l’avenir.
A.Ch.