Le Gouverneur de Hassaké examine avec une délégation de l’UNICEF les moyens d’accroître le soutien apporté aux secteurs des services

Hassaké –SANA/ Le gouverneur de Hassaké, Louay Sayyouh, a examiné lors de sa rencontre avec une délégation du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), présidée par le représentant de l’organisation en Syrie, Bo Viktor Nylund, les moyens d’accroître le soutien apporté aux gouvernorat, notamment les secteurs des services tels que la santé, l’éducation et l’eau.

Lors de la rencontre, Sayyouh a affirmé que le gouvernorat est disposé à apporter tout le soutien à l’équipe de l’UNICEF opérant dans le gouvernorat pour faciliter sa mission et son exécution au profit des habitants du gouvernorat, appelant à la nécessité d’apporter  davantage de soutien aux secteur de l’éducation, de la santé et de l’eau potable, d’intervenir pour traiter les  conditions de milliers d’enfants séquestrés dans les camps et les prisons de la milice des « FDS » et d’accroître la coordination entre l’organisation et les partenaires nationaux au service du citoyen.

Sayyouh a fait allusion à la poursuite des pratiques commises par les deux occupants américain et turc et leur impact direct sur la vie quotidienne des habitants du gouvernorat par le biais de l’affaiblissement des efforts des secteurs vitaux du gouvernorat, à commencer par la poursuite de la coupure de l’eau à Hassaké et à sa banlieue.

De son côté, Nylund a affirmé que l’UNICEF s’engage à fournir ses services de base, y compris l’eau, l’environnement sain, l’éducation, la nourriture et la protection de l’enfance.

Lors de la rencontre, les demandes ont porté sur la nécessité de la poursuite du soutien pour assurer une partie des besoins des citoyens en eau, et sur la poursuite du soutien aux programmes de vaccination et l’apport de fournitures médicales et de médicaments.

Dans le domaine de l’éducation, la rencontre s’est focalisée sur la nécessité de traiter les situations des enfants séquestrés par la milice des « FDS » dans les camps dans de mauvaises conditions humanitaires, ainsi que l’arrestation de centaines d’autres enfants dans les prisons, le recrutement de force des milliers parmi eux et la privation de leurs droits.

B.D./M.Ch.