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Damas-SANA / Le rôle de la femme syrien sur la scène culturelle contemporaine ne se limite pas à la créativité et aux arts de toutes sortes, mais elle est une dirigeante et une organisatrice de l’ensemble de l’action culturelle, et elle avait occupé et occupe toujours de plus hautes fonctions à ce niveau. Sa présence était un succès durable.
A l’Union des écrivains arabes, qui est la plus ancienne institution syrienne qui rassemble des écrivains et intellectuels, on trouve l’une des premiers correspondants de guerre en Syrie, l’écrivaine Falak Husariyah qui offrait au fil des décennies de nombreux romans et recueils, et occupe actuellement le poste du rédacteur en chef du magazine « la position littéraire ».
On passe à la directrice de la direction de la culture de Damas qui regroupe le plus grand nombre d’intellectuels, Naima Suleiman, qui dirige depuis deux ans ce département.
Suleiman a souligné, dans une déclaration similaire, que les femmes se distinguaient dans le travail administratif dans le domaine du développement culturel.
Le centre culturel arabe d’Abu Rumaneh, qui est le plus ancien centre syrien, est dirigé par la plasticienne Rabab Ahmed, depuis huit ans. Elle considère que la femme en passant de la créativité à l’administration devient comme une ruche plein d’activité et d’amour.
Dans le domaine de la gestion des entreprises privées, il existe de nombreux exemples de femmes qui travaillent avec fidélité et distinction, comme la traductrice, Abeer Akel, fondatrice et directrice de Dar Akel pour la traduction et l’édition, qui a parlé de son expérience dans l’établissement de la maison d’édition, qui a affirmé que les femmes ont de grandes capacités cachées mais prêtes à les démontrer au moment donné.
Dans le domaine de l’enseignement universitaire, notamment littéraire, la critique Rima Diyab, expliqué que la nature physiologique de la femme l’aide à réussir dans plusieurs domaines en même temps.
W.H./ L.A.
