Vienne-SANA / L’ambassadeur permanent de la Syrie auprès du Bureau de l’ONU et des autres Organisations internationales à Vienne, Hassan Khadour, a affirmé que l’article relatif à l’application de l’accord de garanties en Syrie représente l’une des facettes négatives de l’exploitation par certains pays de l’Agence internationale de l’énergie atomique « AIEA » au profit de leurs agendas politiques.
Lors des travaux de la 65e session de la conférence générale de l’ AIEA, l’ambassadeur Khadour a indiqué que l’agression de l’entité d’occupation israélienne contre la souveraineté des territoires de la Syrie en 2007 avaient été utilisée comme plateforme en vue d’attaquer la Syrie qui était la victime d’une agression visant à déformer son image, y exercer des pressions politiques et à y imposer un embargo.
Khadour a assuré que l’admission par « Israël » de la responsabilité de l’agression contre la Syrie nécessite que l’AIEA envoie immédiatement sa mission d’enquête à l’entité israélienne, soulignant que la Syrie avait coopéré avec l’AIEA en toute transparence et flexibilité.
Khadour a précisé que le comportement hostile mené par « Israël » dans la région et son rejet d’être hors du Traité et des accords de garanties globales bien qu’il dispose des potentiels nucléaires menacent tellement le Traité de non-prolifération, ainsi que la sécurité et la paix régionales et internationales.
En outre, Khadoura a réclamé de mettre fin immédiatement aux mesures économiques coercitives et unilatérales que certains pays membres imposent à la Syrie.
A.Ch.