Hassaké – SANA/ La ville de Hassaké et sa banlieue ouest, qui s’étend de la station d’Alouk dans la banlieue de Ras Ain à la ville de Hassaké et ses villages voisins, est entrée dans son 11e jour consécutif sans eau potable au milieu d’un mutisme international absolu. Les organisations internationales ignorent un crime contre l’humanité commis par l’occupant turc et ses mercenaires terroristes contre un million de citoyens syriens.
Hier, il a été annoncé que l’approvisionnement en électricité de la station d’Alouk a commencé, mais l’occupant turc n’a pas pompé d’eau vers les habitants, selon l’établissement général de l’eau potable à Hassaké.
Le directeur général de l’établissement général de l’eau à Hassaké, l’ingénieur, Mahmoud Okla, a affirmé que l’eau n’a pas été pompée vers Hassaké jusqu’à présent, ce qui signifie que le problème existe encore et que les prétextes sur lesquels s’appuie l’occupant turc sont faux.
Selon des sources civiles de la zone, l’occupant turc et ses mercenaires manipulent essentiellement la quantité d’électricité arrivant à la station et fournissent l’électricité aux zones de déploiement de ses terroristes dans la zone de Ras Ain.
A cet égard, un certain nombre d’habitants de la ville de Hassaké ont exprimé au correspondant de SANA leur mécontentement et leur dénonciation des violations de l’occupant turc et de la milice ‘’FDS’’, considérant que la population tombe victime entre l’occupant turc et l’occupant américain et leurs partisans et leurs outils dans la région alors qu’ils volent du pétrole et contrôlent les ressources de l’énergie et de l’eau au détriment de la vie d’environ un million de citoyens.
Ils ont appelé à trouver des alternatives stratégiques à l’eau potable pour les habitants de Hassaké.
D.H.