Genève -SANA/Le président du Conseil international de soutien à des procès équitables et aux droits de l’homme (ICSFT), Abdul Hamid Dachti, a réitéré sa réclamation de lever les mesures économiques coercitives et unilatérales imposées à la Syrie, affirmant que le mutisme sur ces mesures à l’ombre de la pandémie du Coronavirus est un « crime humanitaire ».
Dans un message qu’il a adressé aux organisations des Nations unies, à l’OMS et à CICR, Dachti a dit : « A l’ombre de la propagation « accélérée et inquiétante » de la pandémie de coronavirus au niveau mondial et au niveau intérieur en Syrie, la poursuite des mesures économiques coercitives et unilatérales visant la Syrie y aggrave la situation et le mutisme à cet égard représente un « crime humanitaire ».
Dachti a souligné la nécessité que l’ « ICSFT » joue un rôle efficace pour persuader les pays de l’Union européenne et les États-Unis d’annuler leurs mesures coercitives et unilatérales imposées à la Syrie et qui violent la Charte des Nations unies et les lois internationales, notamment celles relatives au secteur de santé qui est le secteur principal dans la lutte anti-coronavirus .
B.D./ A.Ch.