Damas-SANA/ La campagne de tromperie médiatique menée par les médias occidentaux dès le début de la guerre terroriste contre la Syrie se poursuit, et même le drame syrien avait été visé par une campagne de tromperie systématique.
Ce qui est nouveau aujourd’hui, une tentative menée par les médias occidentaux et les ennemis qui sont derrière pour prendre pour cible la Syrie, en visant le drame syrien, en notamment l’œuvre dramatique intitulé (Interview avec M. Adam), qui attire une forte audience en Syrie et à l’étranger.
Le journal britannique « The Guardian » a prétendu, dans un long article écrit il y a deux jours, que dans l’une des scènes de la série relative au crime de meurtre d’une jeune fille égyptienne et lors de l’examen du corps de la victime, le réalisateur de la série a utilisé une photo pour « l’une des victimes des prisons syriennes ».
Répondant à une question sur ce sujet, le réalisateur de la série, Fadi Salim, a fait savoir que la fille qui a joué le rôle de la victime dans la série était l’actrice tunisienne Salma Jalal, et c’est elle qui a subi un maquillage pour son visage par le maquilleur Ahmad Haidar, alors que le maquillage abdominal a été effectué pour une autre fille syrienne « Figurant », ajoutant que ces actions avaient été faites à l’hôpital de Mouassat.
Le réalisateur Salim a présenté des photos et une séquence vidéo montrant les opérations de maquillage du visage de l’actrice tunisienne, ainsi que les opérations de maquillage abdominal de la fille «Figurant », et qui avaient été prises lors des opérations de montage avec le héros de la série, Ghassan Massoud et d’autres.
Le journal britannique a publié une photo pour la fille qu’il a prétendu que le réalisateur l’a utilisée, mais une grande différence avait été marquée en comparaison entre l’image publiée et les vraies photos de la victime dans la scène, ce qui démontre la falsification pratiquée toujours par les parties hostiles à la Syrie.
Salim a ajouté: “Il est clair que l’objectif de cette opération est de viser la Syrie en prenant pour cible du drame via la tromperie médiatique qui se poursuit depuis l’an 2011 et jusqu’à présent ». Les Syriens connaissent bien l’ampleur de la guerre médiatique qui avait été déclenchée contre leur pays pendant plusieurs années de guerre, et cela fait partie de cette guerre.
R.F.