Ala : Les rapports de la commission internationale sur la situation en Syrie s’appuient sur une ligne hostile

Genève / L’ambassadeur permanent de la Syrie auprès de l’Onu et des organisations internationales à Genève, Hussam Eddine Ala, a souligné que les discussions, les rapports et les résolutions émis sur la situation en Syrie au sein du Conseil des droits de l’Homme, s’appuient sur des positions politiques prises en préalable contre l’Etat syrien et sur une ligne négative et hostile basée sur la falsification des faits et la propagation des mensonges véhiculées par certaines organisations non gouvernementales affiliées aux réseaux terroristes armés.

 Dans un communiqué lu lors de l’examen du rapport de la commission internationale chargée d’établissement des faits en République arabe syrienne devant la 38e session du Conseil des droits de l’Homme, Ala a dit : «La Syrie refuse la poursuite de la transformation par la commission d’enquête des rapports onusiens et professionnels en des rapports contradictoires et pleins d’erreurs juridiques».

«Le rapport de la commission sur la Ghouta orientale est l’exemple récent sur la propagation des accusations déjà faites, telles que l’usage de la  famine, du siège et de la prise pour cible préméditée des civils et des services, faisant savoir que ce rapport  est plein de contradictions et d’erreurs juridiques et fondé sur des témoignages non juridiques et des sources d’informations suspectes, comme les «casques blancs » qui ont obtenu récemment 6.6 millions de dollar des Etats-Unis pour leur rôle dans la diffusion des vidéos fabriquées.

” La commission, en anticipant les résultats des enquêtes menées par les commissions techniques spécialisés sur les prétentions de l’usage d’armes chimiques, confirme les grandes erreurs juridiques et le fait qu’elle dépasse ses prérogatives.

Il a regretté la poursuite de la propagation des accusations non objectives sur le déplacement coercitif et la séquestration dans les centres d’accueil, faisant savoir que ceux qui avaient quitté ces centres vers des zones situées hors des zones libérées l’avaient fait volontairement et après avoir refusé de rester et de régulariser leur situation.

Il a fustigé la dérobade de la commission à imputer à certaines parties régionales et internationales la responsabilité des crimes commis par les groupes terroristes et son ignorance des crimes de la Coalition américaine illégale et de ceux du régime turc commis sur les territoires syriens.

Il s’en est pris à la commission d’avoir négligé aussi l’ impact des mesures économiques coercitives sur les Syriens.

L.A.

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