New York-SANA/ Avec la participation de la République arabe syrienne, les travaux du « Sommet de l’avenir » ont été lancés aujourd’hui au siège des Nations Unies à New York, ce qui représente une occasion importante de prendre des décisions pour ouvrir la voie à la paix et à la prospérité mondiales et de prendre des décisions pour rendre les institutions internationales plus légitimes, efficaces et adaptées au monde d’aujourd’hui et de demain.
Le sommet a été précédé de négociations qui ont duré 18 mois sur les documents de base du sommet, que sont le Pacte pour l’avenir et ses deux documents complémentaires, « le Pacte numérique mondial et la Déclaration sur les générations futures », qui portent les visions et recommandations des États membres pour œuvrer de relever les défis auxquels l’humanité est confrontée, renforcer l’action multilatérale internationale et créer un meilleur avenir pour les générations futures.
Les négociations sur le Pacte pour l’avenir ont mis en lumière des divergences de vues et de priorités entre les pays développés et ceux en développement sur des questions essentielles,
Les pays en développement représentés par le Groupe des 77, la Chine et le Groupe des pays partageant les mêmes idées ont réussi à inclure dans le Pacte des acquis importants issus de l’accord des pays visant à éliminer tous les obstacles au développement durable et à s’abstenir de toute coercition économique, en plus d’exhorter les États à ne pas imposer de mesures coercitives unilatérales qui violent le droit et les principes internationaux et entravent la pleine réalisation du développement économique et social dans les pays en développement.
M.Ch.