Nos compatriotes au Golan occupé réitèrent leur attachement aux documents de propriété syriens pour leurs terres

Le Golan syrien occupé-SANA/ L’attachement permanent à la terre et le rejet de toutes les mesures agressives d’occupation israélienne est la position ferme pour nos compatriotes au Golan syrien occupé, en dépit des pratiques répressives de l’occupant à leur encontre pour les déplacer, judaïser et s’emparer de leurs territoires et les remplacer par des colons.

Les plans d’occupation pour judaïser le Golan et modifier ses caractéristiques démographiques et géographiques avaient commencé il y a 56 ans, où l’occupant a détruit 131 villages et 112 fermes et commis les massacres les plus odieux contre leurs habitants.

Bien que les Golanais disposent de documents dans les registres fonciers syriens prouvant leur propriété seuls de leurs territoires, les tentatives de l’occupant pour s’emparer de ces territoires ne s’arrêtent pas sous prétexte qu’ils appartiennent à des absents ou des territoires abandonnés.

En 2009, l’occupation a tenté de nouveau, et les Golanais ont répondu fermement qu’ils sont les propriétaires de cette terre et qu’ils s’attachent à leur identité arabe syrienne et aux documents syriens, soulignant que toutes les mesures de l’occupant dans le Golan sont nulles et non avenues, car il s’agit d’une terre syrienne occupée qui reviendra à la patrie, comme le confirment des dizaines de résolutions de l’ONU prises depuis son occupation en 1967, dont à la tête la résolution n° 497 du Conseil de sécurité de l’an 1981 disant apprendre que ces mesures sont nulles et non avenues et n’ont aucun effet juridique. 

En 2019, l’occupation a renouvelé ses tentatives pour s’emparer des territoires du Golan et remplacer leurs documents de propriété syriens par des documents délivrés par elle, mais les habitants ont affirmé leur rejet de toutes les pratiques racistes d’occupation visant à voler leur terre et remplacer ses titres de propriété.

Pour la quatrième fois, les autorités d’occupation ont récemment répété la même tentative dans les terres de Massada et de la région de Mahamis, qui sont les terres des habitants des villages d’Ain Quniyah et de Za’oura, menacant les habitants de s’emparer des terres de quiconque refuse de remettre le document de propriété syrien, mais les Golanais ont réaffirmé leur refus, soulignant que tous les documents délivrés par l’occupation sont illégaux et inacceptables, et qu’ils ne sont rien d’autre qu’une tentative de judaïser la terre, qu’ils avaient hérité de leurs pères et grands-pères.

L.S./ R.B.