Damas / La direction de la campagne « Vivre autrement » a affirmé que l’objectif de la campagne est de généraliser les comportements qui existent déjà, qui croient en le changement, ne cède ni aux circonstances, ni devant les défis et de se centrer sur des valeurs morales ayant caractérisé les Syriens.
Répondant aux questions de SANA, la direction a expliqué qu’elle a cherché depuis le premier jour de la campagne à créer une relance sociale et économique dans tous les coins de la Syrie et à répondre aux impératifs quotidiens des citoyens et à leurs besoins de subsistance.
La direction a indiqué que la campagne vise à offrir des opportunités et des initiatives qui peuvent être utiles à tout le monde.
“Nous avons pris contact avec des institutions gouvernementales, tandis que d’autres institutions nous ont contactés pour demander de se joindre à nous”, a souligné la direction.
La direction a fait savoir que cette initiative en est à ses débuts, “elle ne demande pas l’impossible, ne prétend pas apporter des solutions aux problèmes de la population durant la crise, c’est juste un moyen et une méthode de bien penser et de bien raisonner … Elle invite à agir plutôt que d’accepter le fait accompli… elle encourage le travail dans la société, dans l’intérêt de tous”.
La direction a indiqué que l’une des caractéristiques les plus importantes de la campagne est qu’elle n’est pas liée à une région ou à une institution quelconque, et elle ne s’est pas fixé des limites.
Elle a ajouté que la campagne regroupe des dizaines de personnes et des parties publiques et privées. “L’initiative se développe de jour en jour et prend de l’ampleur”, a fait allusion la direction.
“Nous pouvons dire avec confiance que nous sommes capables de vivre autrement, la crise n’a pas été en mesure d’empêcher le Syrien de venir en aide à son concitoyen ou toute autre personne pour les sauver”, a ajouté la direction.
Et la direction de conclure : “Tant que nous avons la capacité, l’intention et la détermination, nous continuerons à vivre autrement, ce qui importe en fin de compte ce sont les résultats auxquels nous aboutissons”.
M.Ch. / A. Chatta