Damas / Le vice-ministre des AE et des Expatriés, Fayçal Miqdad, a affirmé la nécessité que les organisations onusiennes opérant dans le domaine des droits de l’enfant, respectent la souveraineté et les lois de la Syrie.
Présidant aujourd’hui une réunion du comité de suivi national onusien des droits de l’enfant, Miqdad a fait savoir que les organisations onusiennes doivent s’engager aux principes de l’impartialité et de la transparence, et s’écarter de la politisation.
Il a indiqué que les enfants de la Syrie sont les plus affectés parmi les victimes de la guerre terroriste visant la patrie.
Miqdad a fait noter que le gouvernement syrien, œuvre depuis le début de la crise en Syrie pour protéger tous ses citoyens, en particulier les enfants.
De son côté, le représentant résident de l’Onu, Yaaqoub Helou, a mis en exergue la coopération constructive entre le gouvernement syrien et les organisations onusiennes en Syrie.
Pour sa part, la présidente du bureau de l’UNICEF, Hanna Senjer, a assuré que le gouvernement syrien avait adopté des démarches importantes pour satisfaire les besoins des enfants, dont le décret législatif N°11 de l’an 2012 qui criminalise le recrutement des enfants.
A. Chatta