Washington -SANA/ Les fuites par de responsables actuels et anciens de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques « OIAC » se succèdent et qui prouvent la manipulation délibérée du dernier rapport de l’organisation sur l’usage présumé des armes chimiques dans la localité de Lattamena en 2017.
Dans une nouvelle fuite obtenue par le site d’information indépendant « The Grayzone », des responsables, qui ont contribué à la préparation et à la révision du rapport publié le 8 du mois dernier, ont indiqué que le rapport est politisé et se base sur les rumeurs et les fausses allégations scientifiques.
Ils ont ajouté que le rapport mentionné avait été soumis à l’influence d’experts secrets non-professionnels et partiaux.
Selon la nouvelle fuite, un certain nombre d’experts impartiaux, qui ne souhaitent plus avoir de liens avec des rapports politisés que l’OIAC publie, ont qualifié d’« incorrect des deux côtés procédural et scientifique » le rapport sur l’usage d’agents toxiques à Lattamena.
Ils ont fait savoir que l’« équipe d’enquête et d’identification » ne vise point à enquêter les incidents présumés d’attaques chimiques en Syrie, mais la création de cette équipe a pour objectif d’imputer à l’Etat syrien la responsabilité de ces attaques.
R.F.